L’intégrale des connaissances en
IMAGERIE MUSCULOSQUELETTIQUE

Les 2 références incontournables enfin réunies
sous forme d’un pack

Prix:
339 €

ll est des livres événements, des livres qui marquent une maison d’édition : les deux volumes de « Imagerie musculosquelettique » du Pr Anne Cotten appartiennent à cette catégorie {…} Ces ouvrages poursuivent ainsi leurs rôles de référence en langue française pour la discipline au service de la communauté des radiologues, au service de nos lecteurs, au service de vos patientsSonia Koszul, Directrice éditoriale
Coordonné par le Pr Anne Cotten,
retrouvez dans un seul pack les 2 références incontournables en imagerie ostéo-articulaire

Ces traités dressent un exhaustif de l’imagerie du système musculosquelettique . Intégrant les dernières innovations techniques, ils exposent avec rigueur et clarté l’ensemble de la sémiologie radiologique et de l’analyse diagnostique.

Pour chaque pathologie, les signes radiologiques caractéristiques sont présentés, de même que les complications à rechercher et les associations lésionnelles à connaître. Les différentes techniques d’investigation sont intégrées.

La richesse et la qualité exceptionnelle de l’iconographie, avec près de 3000 illustrations, font de ces ouvrages des outils précieux, une référence indispensable

Pour vous, le chapitre Hémophilie en accès libre

Plan du chapitre : Atteinte articulaire | Complication | Prise en charge de l’arthropathie hémophilique

Chaque image a été sélectionnée minutieusement par le Pr Anne Cotten pour sa qualité intrinsèque et son exemplarité clinique :

Fig. 2.33 Goutte tophacée chronique. Tophus en hyposignal T1 ( a ), modérément hyperintense en T2 ( b, d ) et se rehaussant à sa périphérie après injection de gadolinium ( c ). Notez l'érosion tibiale débutante en regard (flèche). En l'absence de contexte clinique, cet aspect peu spécifique peut mimer un sarcome.

Fig. 2.34 Goutte tophacée chronique. Érosions articulaires et para-articulaires de grande taille (flèches). Le diagnostic est probablement plus facile à évoquer en scanner ( a ) qu'en IRM (coupes axiales pondérées en T1 ( b ) et T2 ( c )).

Fig. 2.74 Dépôts de PCB : érosions (têtes de flèches) du tubercule majeur chez deux patients différents ( a, b ). En a , la calcification n'est pratiquement plus visible (flèches) ; en b , elle migre au sein de l'érosion (flèche).

Fig. 2.75 Dépôts de PCB : opacité de type calcique du récessus glénohuméral inférieur (flèche).